Cette actualisation intègre les découvertes les plus récentes ainsi que les activités de l’archéologie des bunkers dans la commune.
C’est dans cette optique que « La Route des Bunkers » est accessible en téléchargement libre. Ce document offre une plongée dans l’histoire locale, combinant habilement culture et randonnée. Une occasion pour les passionnés d’Histoire de s’imprégner de ces vestiges, en appréciant les beautés naturelles environnantes.
Pour rester informé de toutes les avancées et actualités, je vous recommande vivement de vous inscrire sur le site. Recevez ainsi régulièrement les nouvelles, les événements à venir et les découvertes palpitantes liées à « bunker archéologie ».
Les bunkers ne sont pas simplement des structures en béton, mais des pièces maîtresses d’une époque révolue. À travers cette mise à jour et l’accès à la « Route des Bunkers », plongez au cœur d’un passé captivant et laissez vous transporter par cette histoire singulière qui façonne l’identité de St. Pabu.





Alain Floch, est professeur d’allemand en retraite, il effectue des recherches à partir de nombreuses sources qui lui ont permis d’écrire des ouvrages sur L’occupation allemande.



Matial Dol vit dans le Pays des Abers et a étudié les fortifications du mur de l’Atlantique. Il a fondé une association sur le sujet et a travaillé avec Alain Chazette, auteur de nombreux ouvrages. Dans le cadre de notre échange d’information, il nous fournit des documents exceptionnels, fruit d’un long travail de recherche. Fin 41 et début 42 des missions aériennes anglaises photographient les radars de saint PABU.

indique les champs de mines autour de la pointe et le minage de la plage de Béniguet. Nous y découvrons l’incroyable densité de barbelés et clôtures piégés installés par l’occupant. Les angles du bâtiment de « l’hôtel les Pins » servent de point de mesure pour positionner les espaces minés. Le mur nord de la maison « les Courlis » d’une hauteur d’1,70m délimite le nord de la position et cache un important champ de mine.
Une clôture piégée, allant du nord au sud jusqu’à la route longeant la ravine de Béniguet définie les limites de la position. L’entrée se faisait par la route au niveau de la maison « la folie ». Au cours de nos recherches nous avons découvert que les allemands se servaient du cadastre français pour travailler les cartes.
C’est dans un des classeurs de Marie ange le Gleau
Troisième journée de recherche aux archives de Quimper en compagnie 

Saint-Pabu.